ALEXANDRE

Publié le par LAURENCE NOYER

Arsène Alexandre : Paris, 22 février 1893 « Coquecigrues » « M. Jules Renard s’attache à un petit nombre de victimes, - il est vrai que chacune représente un bon troupeau d’analogues, - et se colle à elles, les agrippe, les mord, les pince, en tournant, les pressure dans tous les sens, comme le plus malveillant des juges d’instruction, de telle sorte qu’une innocente parole d’eux, présentée, amenée et enchâssée par lui, devient énorme de sous-entendus. Il met en valeur un mot, et une attitude avec une sournoiserie et une assurance parfaitement flegmatiques. »

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