SOURIRES

Publié le par LAURENCE NOYER

SOURIRES

Sourires pincés, Paris, Alphonse Lemerre, 1890, 136 p.

L’ouvrage est fort rare. Une deuxième édition fut publiée en 1892 par Ollendorff (qui reprit à Lemerre les exemplaires invendus et « remit l’ouvrage en vente sous une nouvelle couverture »). Léon Guichard, dans les Œuvres, t. I, p. 230 a indiqué les pré-publications dans le Mercure de France en 1890. Une réédition eut lieu en 1894 sous le titre Le coureur de filles par Flammarion dans la collection Les auteurs célèbres (à l’exception de Pointes sèches et des Joues rouges, qui sont reprises alors dans Poil de Carotte). On notera que Sourires pincés annonce « pour paraître » : « Les Cloportes (scènes et types de campagne) — L’Écornifleur (scènes de parasitisme) ».
Léon Guichard a publié (Œuvres, t. I, p. 932-936) les huit poèmes qui furent mis en prose dans la quatrième partie appelée Sourires pincés (t. I, p. 244-247) : ces poèmes ne furent publiés qu’en 1925 dans l’édition Bernouard (Les Débuts littéraires).

jules-renard.nevers.f

Publié dans Sourires pincés, Oeuvres

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