Remy de Gourmont à Léautaud « Nos Frères Farouches, Ragotte » « On voit rarement un livre aussi ennuyeux. Ca va bien pendant trois pages. Après, on a envie d’aller se promener. Ca n’a pas de suite. C’est fait de tout, comme un recueil de bons mots. Des...
Rachilde : 16 janvier 1909 « Nos Frères Farouches, Ragotte » « En habit vert, ce livre se présente comme un espoir. Il est fin fort honorable. Jules Renard, décoré de l’Académie Goncourt et maire de son pays, n’a plus qu’à attendre les articles sur commande...
Tristan Bernard : Comoedia, 13 janvier 1909 « Nos Frères Farouches, Ragotte » « Quand j’ai lu le premier fragment de Nos Frères Farouches… j’ai ressenti une émotion qu’on n’éprouve pas tous les jours…si rare et si délicate… dans ces cas-là, il n’y a pas...
Louis Nazzi : Mon chez moi, 10 janvier 1909 « Nos Frères Farouches, Ragotte » « Il n’est guère d’écrivains plus parfaits, plus soucieux de leur œuvre et plus dignes d’estime que M. Jules Renard. Il représente l’un des types les plus accomplis de l’ouvrier...
Gil Blas, 9 janvier 1909 « Mots d’écrit » « Un homme de lettres, maire de sa commune. Jules Renard n’est pas seulement le parfait artisan des lettres que nous admirons ; il est aussi maire de son village. Il apporte tous ses soins, disons tout son cœur,...
C-F.Ramuz : La Semaine Littéraire, Genève, 2 janvier 1909 « Nos Frères Farouches, Ragotte » «Encore que de telles prédictions soient souvent chose hasardeuse, je pense qu’on a chance de ne point se tromper en avançant que, parmi les volumes de ces vingt...
Paul Léautaud : Journal, 21 décembre 1908 « J’ai envoyé à Renard les deux volumes des nouveaux Poètes d’aujourd’hui. En réponse, j’ai reçu de lui aujourd’hui son dernier livre paru il y a quelques jours Ragotte, avec un mot aimable, et un envoi… un peu...
André Chaumeix : Journal des Débats, 20 décembre 1908 « Nos Frères Farouches, Ragotte » « On lit au-dessous de la vignette qui sert d’ex-libris à un récent ouvrage de M. Jules Renard ces mots élastiques qui sont la fin d’un hexamètre : Sub tegmine fagi....
René Boylesve : Le Gaulois, 16 décembre 1908 « l’art de Jules Renard » « Nos Frères Farouches, Ragotte » « Si j’entendais dire que la probité littéraire a disparu du reste du monde, je sourirais avec confiance en pensant à Jules Renard : quoi qu’il arrive,...
Jules Bois : Les Annales, 13 décembre 1908 « Nos Frères Farouches, Ragotte » « Jules Renard dédaigne l'expansion, réticent, boutonné jusqu'à l'âme, sensible pourtant, très épris du talent des autres, quand ce talent manifeste une personnalité ou qu'il...
